Avec Oulaya Amamra, Ana Blagojevic, Salif Cissé, Antoine De Foucauld, Léa-Surya Diouf, Zélinda Fert, Alexandre Labarthe, Jade labeste, Asma Messaoudene, Nicolas Pietri, Alice Rahimi, Édouard Sulpice, Adrien Simion
Mercredi 27 novembre, jeudi 28 novembre à 19h30 Vendredi 29 novembre à 15h Samedi 30 novembre à 19h30 Lundi 2, mardi 3, mercredi 4, jeudi 5 décembre à 19h30
Avec Émilie Baba Jules Bisson Ana BlagoJevic Stefan Crepon Antoine de Foucauld Grégoire Didelot Léa-Surya Diouf Lucie Epicureo Lucie Gallo Jade Labeste Déborah Lukumuena Édouard Pénaud Nicolas Pietri Édouard Sulpice Mathilde Weil
Scénographie Nina Alvarez Juliette Talon Elena Liucija SELENIENE (étudiantes ENSAD)
Thème
Atelier de 3e année
Mise en scène
Alain Françon et Guillaume Lévêque
Horaires
Mercredi 27, jeudi 28, vendredi 29, samedi 30 novembre Lundi 2 et mardi 3 décembre à 20h
DES POSITIONS : APPARITION-DÉPOSITION, APPARENCE-COMPOSITION, DISPARITION-DÉCOMPOSITION Installation-performance autour du rituel de l’habillage
Laurence
Ayi, doctorante SACRe promotion 2016, présentera son bilan d’étape
vendredi 18 et samedi 19 octobre à 14h45 et 19h15 en salle Jouvet.
Sujet de thèse : Le
rituel de l’habillage comme mécanisme de transition du vêtement au
costume. Dire que ce rituel est un acte de théâtre performatif duquel
naît l’objet-costume, art visuel-vivant
Le rituel qui
consiste à habiller un mort pour entrer dans l’autre monde comporte une
étrange similarité avec celui qui consiste à l’habillage du comédien
avant son entrée en scène. Cette thèse se propose donc de mettre le vêtement-costume au centre de la recherche en tant qu’objet performatif en action.
Scénographe,
costumière et plasticienne, Laurence Ayi appréhende par le prisme de la
performance et l’installation, le vêtement-costume comme espace, lieu
du corps où prend place un théâtre intérieur, singulier.
Elle poursuit une réflexion autour de deux questions clés : – À quel moment le vêtement devient-il costume ? – De quelles vies s’anime un vêtement et par quel vêtement se déshumanise un être ?
Venez retrouver les élèves du double cursus « Jouer et mettre en scène » à l’occasion de leur dernier exercice : la présentation de leurs créations, des formes courtes réalisées en peu de temps et avec des moyens réduits. Ces présentations se dérouleront du 6 septembre au 5 octobre 2019 en salle Jouvet.
DÉPRESSURISATION, écrit et mis en scène par Louise Orry-Diquero
DÉPRESSURISATION est un spectacle sur ma première année dans le monde des grands. Celui où les bras qui vous bercent sont ceux qui pendent à vos épaules. Comme le nouveau-né qui hurle à la naissance, j’ai fait mon premier cri, ici dans la salle Louis Jouvet lorsque j’ai reçu mon diplôme. Cette libération, c’est un décollage. Prenez place dans mon avion, je vous invite au voyage.
L’ORAGE, mis en scène par Héloïse Manessier
D’après l’œuvre d’Alexandre Ostrovski Avec : Antoine De Foucauld, Zelinda Fert, Amandine Gay, Arthur Hesse, May Hilaire, Alexandre Labarthe, Louise Legendre, Chloé Ploton, Adrien Simion, Mathilde Weil
J’ai vu une chose, j’ai appris ça, on m’a dit que… Et d’expérience en récit, je me raconte une histoire qui fait sens. C’est ma vision des choses. Ce que je crois. Toi aussi, tu t’es créé ton monde avec tes logiques et tes images. Les sens, les convictions que tu t’es forgées par habitude, tradition, expérience… Comment fait-on alors pour créer un monde à deux ? à trois ? à dix ? Quand les opinions divergent ? Quand ce que je crois est opposé à ce que tu crois ? Quelle place laisse-t-on dans notre monde à celui du voisin ? Quelle place accepte-t-on de donner à ce qui nous dérange ? Déplacer sa propre perception du réel ? Bouger les lignes ? Me forcer à remettre en question ce que je croyais vérité immuable. Ostrovski raconte cette difficulté à être vraiment avec. La confrontation à l’autre. Non pas ce que je comprends de l’autre mais justement, ce que je ne comprends pas. La mise en place complexe d’un vivre ensemble. La capacité ou non d’un système à se réinventer, à se raconter à nouveau, autrement. Le dialogue de la maîtrise et de l’inconnu. La peur de ce qui déplace parce qu’elle plonge hors des chemins déjà connus. Dans la petite ville de Kalinov au bord de la Volga, dans la Russie des années 1860, les codes sont clairs. Deux familles détiennent le pouvoir. Dikoi le détient par la force et Kabanova par le respect indéfectible aux codes anciens. Les rôles sont établis et il est impensable de les remettre en question. Mais lorsqu’un amour impossible bouscule les règles établies, le ciel bleu d’été voit apparaître au loin un orage annonciateur des bouleversements à venir.
L’EMBONPOINT, mis en scène par Charly Fournier
Conception et mise en scène Charly Fournier Avec : 8 artistes du milieu théâtral et de la restauration
AU MENU Rencontre entre deux arts, celui du plateau et celui de la table. À mi-chemin entre le Théâtre et la Gastronomie. Quand deux imaginaires se rencontrent et ne font plus qu’un !
RÊVES, mis en scène par Hugo Kuchel
Conception et mise en scène Hugo Kuchel Avec : Déborah Dozoul, Marie Rousselle-Olivier, Sarah Ber, Naim Belhaoumi, Anthony Mezalto-Ruotte, Perrine Livache, Etienne Galhargue, Lisa Torres, Eugénie Pouillot, Irène Woyatzis, Julia Cash Musique : Camille Thevenau
Ils rêvent. Huit actrices et trois acteurs Les rêves Ils s’en rappellent Ils les écrivent, les parlent, les jouent, les traversent Ils cherchent la rive Ils cherchent le gué à passer Ils traversent le fleuve les pieds mouillés Ils se trempent dans cette matière organique d’images, d’odeurs, de sons, de peurs, de désirs entrelacés Ils passent le fleuve. Huit actrices et trois acteurs qui partagent leurs rêveries, et moi qui les reçois.
COMMENT ALLEZ-VOUS ? mis en scène par Édouard Pénaud
Conception et mise en scène Édouard Pénaud Avec : Benjamin Gazzeri Guillet, Martin Van Eechoudt, Sara Lo Voi, Jérémy Galliana
Suite à une immersion au sein d’un hôpital psychiatrique de l’Allier, un metteur en scène, des soignants et des soignés nous racontent leur quotidien.
Jusqu’où iront-ils pour sauver ce qui leur appartient ? Le socle identitaire peut vite disparaitre, et nous laisser dans une « absence ». C’est la vague qui retourne à l’océan? Ou c’est l’océan qui reprend la vague?
OUI MAIS DE TOUTE FAÇON… mis en scène par Rose Martine
Écriture et mise en scène Rose Martine Avec : Vincent Alexandre, Louise Legendre, Eugène Marcuse, Emma Meunier, Jordan Rezgui, Juliette Speck, Souleymane Sylla, Lisa Toromanian
Un foyer de la DASS. Des jeunes. Adolescence. 16, 17 ans. Bientôt adultes. Bientôt. Pas encore. Des éducateurs. Des tensions. La noncommunication, ou la mauvaise communication. Les clichés. Le rêve d’ailleurs (là où tout paraît beau, plus doux, où tout est permis), d’une (autre) maison, d’une autre vie. Une meilleure vie. Un désir fort et prononcé de fuite. Échapper à une réalité. Dure. Cruelle. Chacun a son rêve, mais combien réussiront à le réaliser ? Chacun a ses démons, ses tensions, mais combien arriveront à s’en défaire ? Peut-on réellement s’en défaire ? « Oui, mais de toute façon… », ce sont des jeunes, des moins jeunes, qui ont perdu la trace du bonheur, mais se battent, luttent, souvent contre eux-mêmes, pour y accéder. Car ils ont des rêves, des envies, de l’espoir plein le cœur, qui ne demandent qu’à être exprimés.